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Le Spécialiste
14-10
11 juin 2014
www.lespecialiste.be
I
l y a quelques années, les tentatives
d'escroqueries par internet se limi-
taient encore à ces emails hilarants
provenant du soi-disant héritier d'une
obscure monarchie africaine. Truffés de
fautes d'orthographe et à l'argumentaire
plus que douteux, ces messages vous
invitaient traditionnellement à jouer le
rôle d'intermédiaire dans le versement
de l'héritage d'un roi défunt, en transitant
par une banque étrangère. L'escroc pro-
mettait le paiement d'une juteuse com-
mission... mais en profitait pour soutirer
de l'argent aux malheureux qui mordaient
à l'hameçon.
Depuis lors, les fraudeurs ont fait du che-
min. Ils ont peaufiné leurs techniques. Ils
ont non seulement investi dans l'achat
d'un dictionnaire, mais ils savent aussi
se montrer beaucoup plus convaincants
lorsqu'il s'agit de se faire passer pour
votre banque. «Depuis un an ou deux, nous
sommes confrontés à des fraudeurs qui se
sont professionnalisés. Il s'agit dorénavant
de véritables organisations criminelles»,
explique Rodolphe de Pierpont, porte-
parole de Febelfin, la fédération du sec-
teur bancaire belge. «Il existe encore bel
et bien quelques tentatives grossières qui
émanent d'amateurs, mais pratiquement
plus personne ne tombe dans le piège. Par
contre, il est plus délicat de démasquer la
fraude lorsqu'elle est l'oeuvre de profes-
sionnels qui ont copié à l'identique le logo
de votre banque, adoptent les mêmes
tournures de phrase, le même vocabu-
laire et peuvent même vous fournir des
données telles que votre adresse ou votre
date de naissance, qu'ils ont au préalable
dérobées sur le web. Ils savent se montrer
très persuasifs en jouant sur la naïveté du
client. Ils prétexteront une importante
mise à jour de vos données pour garantir la
sécurité de votre compte et vous deman-
deront de fournir des informations confi-
dentielles, telles que le code secret de
votre carte bancaire ou les codes de votre
digipass. Alors que le client pense être en
contact avec sa banque, il répond en réa-
lité à un escroc qui est en train de vider son
compte en temps réel.»
Et ça marche... 1.774 cas de fraudes
bancaires par internet ont été relevés en
Belgique en 2013, soit une hausse de près
de 70% par rapport à l'année précédente.
A titre de comparaison: en 2010, un seul
cas avait été signalé. En fonction du solde
disponible, les opérations frauduleuses
peuvent concerner quelques euros...
jusqu'à plusieurs dizaines de milliers d'eu-
ros pour les moins chanceux.
Plus vrai que nature
Les techniques se multiplient et se pro-
fessionnalisent. La plus courante reste
le phishing (ou hameçonnage). C'est
une technique par laquelle des escrocs
essaient d'obtenir des informations
confidentielles (numéro de compte,
numéro de carte, codes secrets, accès à
votre Online Banking, etc.) en usurpant
l'identité d'un fournisseur de services
financiers. Le plus souvent, les victimes
reçoivent un email présenté comme
émanant de leur banque ou d'un orga-
nisme émetteur de cartes de crédits. Le
client est invité à cliquer sur un lien pour
mettre à jour ses données de sécurité. Il
ouvre alors un site web qui se présente
comme celui de sa banque et sur lequel
il ne reste plus qu'à remplir les champs
laissés vides. Les fraudeurs récupèrent
ensuite ces données pour accéder aux
comptes et y dérober des sommes plus
ou moins coquettes. Vous avez déjà reçu
un email d'une banque dont vous n'êtes
pas client? Ou d'un fournisseur de ser-
vices financiers auquel vous n'êtes pour-
tant pas abonné (Visa, Paypal, Ebay, etc.)?
Il s'agissait plus que certainement d'une
tentative de phishing. Cette escroquerie
se déroule également parfois par télé-
phone: les fraudeurs prétendent appeler
depuis le service client et demandent une
série de codes secrets pour pouvoir effec-
tuer leurs méfaits.
Le malware (ou logiciel malveillant) est
une technique plus difficile à déceler.
Les fraudeurs parviennent à installer sur
l'ordinateur de leur victime un logiciel
très discret qui espionne le comporte-
ment du client et en profite pour dérober
des données confidentielles à son insu.
En général, les malwares s'installent après
avoir cliqué sur un lien dans un email
frauduleux, téléchargé un fichier... ou en
visitant des sites peu recommandables.
Dans certains cas, le malware peut rester
inactif plusieurs semaines avant d'entrer
en action.
Ne jamais communiquer
un code secret
Face à ce phénomène, les banques ont
massivement investi dans la sécurité de
leurs systèmes informatiques, les ren-
dant pratiquement inviolables. Les orga-
nisations criminelles l'ont bien compris:
la faille se trouve désormais du côté
des utilisateurs. Or, la fraude pourrait
être endiguée en appliquant quelques
conseils très simples, ce qu'on appelle «la
règle d'or» du côté de Febelfin: ne jamais
communiquer les codes secrets liés à un
compte ou une carte bancaire, que ce
soit par email ou par téléphone. Il est en
effet important de rappeler que jamais
votre banque n'aura besoin de connaître
votre code secret. Prenons l'exemple du
code PIN de votre carte bancaire: la seule
personne à connaître le code, c'est vous-
même. Ce code n'est enregistré nulle
part auprès de votre banque puisqu'il est
lié à votre carte. D'ailleurs, vous pouvez
le changer à votre guise, sans devoir en
avertir la banque. Dès lors, votre banque
n'a aucune raison de vous le demander. Il
sert uniquement à valider les opérations
que vous effectuez avec votre carte. Il
en va de même pour les codes de votre
JS1086F
Protégez vos données bancaires
sur internet
Vos données bancaires intéressent les fraudeurs, en particulier
sur le web. L'année dernière, les fraudes bancaires via internet
ont connu en Belgique une augmentation de 70%, pour un mon-
tant total qui dépasse les 5 millions d'euros. Consommateurs
imprudents, parfois un peu naïfs, les victimes pensent souvent
avoir affaire à leur banque et communiquent de bonne foi leurs
données confidentielles. Avant de constater quelques jours plus
tard que des retraits ont été effectués à leur insu depuis leurs
comptes. Voici un aperçu des techniques les plus courantes ren-
contrées actuellement, ainsi que des conseils pour apprendre à
les déjouer.
FINANCES
«Jamais votre banque
n'aura besoin de
connaître votre code
secret.»
Symbicort
®
Turbohaler
®
SMART:
traitement d'entretien et
traitement d'urgence
à l'aide d'un seul inhalateur pour
vos patients asthmatiques
1
NS Appr
oval ID 130013 r
evision date 02-2014
160/4,5 microgr
./inhalation
Nombre d'inhalations
en cas d'asthme
et en cas de symptômes
(uniquement pour adultes)
MATIN
1
+
SOIR
1
MATIN
2
+
SOIR
2
ou
INFORMATIONS ESSENTIELLES 1. DENOMINATION DU MEDICAMENT SYMBICORT Turbohaler 160 microgrammes/4,5 micro-
grammes/inhalation, poudre pour inhalation.
2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE Chaque dose délivrée (dose qui
sort de l'embout buccal) contient 160 microgrammes/inhalation de budésonide et 4,5 microgrammes/inhalation de fumarate de formo-
térol dihydraté. Chaque dose mesurée contient 200 microgrammes/inhalation de budésonide et 6 microgrammes/inhalation de fumarate
de formotérol dihydraté. Excipient: 730 microgrammes de lactose monohydraté par dose. Pour la liste complète des excipients, voir ru-
brique `Liste des excipients' du RCP.
3. FORME PHARMACEUTIQUE Poudre pour inhalation. Poudre blanche. 4. DONNEES CLI-
NIQUES 4.1 Indications thérapeutiques Asthme SYMBICORT est indiqué pour le traitement régulier de l'asthme lorsque l'usage
d'une combinaison (un corticostéroïde inhalé et un agoniste ß
2
-adrénergique à longue durée d'action) est indiqué: - soit chez des patients
qui ne sont pas suffi samment contrôlés par des corticostéroïdes inhalés et des agonistes ß
2
-adrénergiques à courte durée d'action utilisés
quand nécessaire; - soit chez des patients qui sont déjà suffi samment contrôlés par des corticostéroïdes inhalés et des agonistes ß
2
-adré-
nergiques à longue durée d'action.
BPCO Traitement symptomatique des maladies pulmonaires chroniques obstructives (BPCO) sévères
(FEV1<50% de la valeur normale prédite) et en cas d'antécédent d'exacerbations répétées, chez des patients qui ont des symptômes
signifi catifs en dépit d'un traitement régulier par bronchodilatateurs à longue durée d'action.
4.2 Posologie et mode d'administra-
tion Voie d'administration: voie inhalée. Asthme SYMBICORT n'est pas destiné au traitement initial de l'asthme. La posologie des
composants de SYMBICORT est déterminée sur base individuelle et doit être adaptée à la sévérité de la maladie. Il faudra en tenir compte
non seulement lorsque l'on commence un traitement avec une combinaison, mais également lorsque la dose d'entretien est adaptée. Si
un patient individuel devait avoir besoin d'une combinaison de doses différentes de celles qui sont disponibles dans l'inhalateur contenant
la combinaison, il faudrait prescrire les doses requises d'agonistes ß
2
-adrénergiques et/ou de corticostéroïdes dans des inhalateurs sé-
parés. La dose doit être ajustée à la plus petite dose possible qui permette un contrôle effi cace des symptômes. L'état des patients doit
être régulièrement réévalué par le médecin, afi n que la posologie de SYMBICORT reste optimale. Lorsque le contrôle à long terme des
symptômes est maintenu à la dose minimale recommandée, l'étape suivante peut inclure un test avec uniquement un corticostéroïde
inhalé. Il existe deux stratégies de traitement par SYMBICORT:
A. SYMBICORT traitement d'entretien: SYMBICORT est utilisé pour
le traitement d'entretien régulier avec, séparément, un bronchodilatateur à action rapide comme médicament de crise. B.
SYMBICORT
traitement d'entretien et des symptômes: SYMBICORT est utilisé pour le traitement d'entretien régulier et quand nécessaire en
cas de symptômes.
A. SYMBICORT traitement d'entretien Il faut conseiller aux patients de toujours avoir à disposition leur bron-
chodilatateur à action rapide, en tant que médicament de crise. Doses recommandées: Adultes (18 ans et plus): 1-2 inhalations deux fois
par jour. Certains patients peuvent nécessiter jusqu'à 4 inhalations deux fois par jour maximum. Adolescents (12-17 ans): 1-2 inhalations
deux fois par jour. Dans la pratique de tous les jours, lorsque l'on obtient le contrôle des symptômes avec une administration biquotidienne,
une adaptation à la plus petite dose effi cace pourrait inclure un passage à une seule administration par jour de SYMBICORT, lorsque selon
l'avis du prescripteur un bronchodilatateur à longue durée d'action est nécessaire pour maintenir le contrôle. L'augmentation de l'utilisation
séparée d'un bronchodilatateur à action rapide indique une aggravation de l'état sous-jacent et nécessite une réévaluation du traitement
de l'asthme. Enfants (6 ans et plus): Une dose plus faible est disponible pour les enfants de 6 à 11 ans. Enfants de moins de 6 ans: Etant
donné que les données disponibles sont limitées, SYMBICORT n'est pas recommandé pour les enfants de moins de 6 ans.
B. SYMBI-
CORT traitement d'entretien et des symptômes Les patients prennent une dose d'entretien quotidienne de SYMBICORT et uti-
lisent aussi SYMBICORT, en cas de besoin, en réponse à la survenue de symptômes. Il faut conseiller aux patients de toujours avoir à
disposition SYMBICORT en tant que médicament de crise. On doit particulièrement envisager un traitement d'entretien et des symptômes
par SYMBICORT chez les patients avec: - un contrôle de l'asthme insuffi sant et qui nécessite fréquemment un médicament de crise - des
antécédents d'exacerbations de l'asthme requérant une intervention médicale Il est conseillé de surveiller étroitement les effets indési-
rables dépendant de la dose chez les patients qui utilisent régulièrement un nombre élevé d'inhalations supplémentaires de SYMBICORT
pour le traitement des symptômes. Doses recommandées: Adultes (18 ans et plus): la dose d'entretien recommandée est de 2 inhalations
par jour, soit une inhalation le matin et le soir, soit 2 inhalations le matin ou le soir. Chez certains patients, une dose d'entretien de 2 inha-
lations deux fois par jour peut être indiquée. Si nécessaire, en cas de symptômes, les patients doivent prendre une inhalation supplémen-
taire. Si les symptômes persistent après quelques minutes, une inhalation supplémentaire est encore conseillée. Ne jamais dépasser 6
inhalations par prise. Une dose totale de plus de 8 inhalations par jour n'est généralement pas nécessaire. La dose totale peut cependant
aller jusqu'à 12 inhalations par jour pendant une période limitée. Il est fortement conseillé aux patients qui prennent chaque jour plus de
8 inhalations de consulter un médecin. Ces patients doivent être resoumis à un examen médical et leur traitement d'entretien doit être
reconsidéré. Enfants et adolescents en dessous de 18 ans: le traitement d'entretien et des symptômes par SYMBICORT n'est pas recom-
mandé pour les enfants et les adolescents.
BPCO Doses recommandées: Adultes: 2 inhalations deux fois par jour Information géné-
rale Groupes particuliers de patients: Il n'y a pas d'exigence spécifi que relative à la dose chez les personnes âgées. On ne dispose pas
de données relatives à l'usage de SYMBICORT chez les patients dont l'activité hépatique ou rénale est perturbée. Comme le budésonide
et le formotérol s'éliminent principalement par métabolisation au niveau du foie, on peut s'attendre à une exposition plus importante chez
les patients atteints d'une cirrhose sévère du foie. Instructions pour un usage correct du SYMBICORT Turbohaler: L'inhalateur est actionné
par le fl ux inspiratoire ce qui signifi e que, lorsque le patient inhale à travers l'embout buccal, la substance suivra la direction de l'air inspi-
ré dans les voies respiratoires.
N.B.: Il est important de donner au patient les instructions suivantes: - lire attentivement le mode d'emploi
dans la notice accompagnant chaque inhalateur SYMBICORT Turbohaler; - inspirer avec force et profondeur à travers l'embout buccal afi n
d'assurer une délivrance optimale de la dose au niveau des poumons; - ne jamais expirer dans l'embout buccal; - replacer le couvercle
de l'inhalateur SYMBICORT Turbohaler après utilisation; - se rincer la bouche avec de l'eau après avoir inhalé la dose d'entretien afi n de
minimiser le risque de développer du muguet dans l'oropharynx. En cas de muguet dans l'oropharynx, les patients doivent également se
rincer la bouche avec de l'eau après les inhalations supplémentaires pour le traitement des symptômes. Il est possible que le patient ne
perçoive ni ne sente le goût du médicament lorsqu'il utilise l'inhalateur SYMBICORT Turbohaler, cela s'explique par la faible quantité de
substance inhalée.
4.3 Contre-indications Hypersensibilité (allergie) au budésonide, au formotérol ou au lactose (qui contient de
faibles quantités de protéines lactiques).
4.4 Effets indésirables Comme SYMBICORT contient à la fois du budésonide et du formoté-
rol, il peut se produire des effets indésirables de même nature que ceux qui ont été rapportés pour chacun de ces composants. On n'a
pas rapporté d'augmentation de ces effets indésirables suite à l'administration simultanée de ces deux composants. Les effets indésirables
les plus fréquents liés au médicament sont les effets indésirables pharmacologiquement prévisibles d'un agoniste 2-adrénergique, tels
que tremblements et palpitations. Ils sont relativement légers et disparaissent en général après quelques jours de traitement. Dans une
étude clinique de 3 ans portant sur l'utilisation du budésonide dans la BPCO, des ecchymoses et une pneumonie ont été observées à des
fréquences respectives de 10% et de 6%, comparativement à 4% et 3% pour le groupe placebo (respectivement p<0,001 et p<0,01).
Les effets indésirables associés au budésonide ou au formotérol sont repris ci-dessous, classés par classe d'organes et selon leur fré-
quence. Les fréquences des effets indésirables sont répertoriées comme suit: très fréquent ( 1/10), fréquent ( 1/100 à < 1/10), peu
fréquent ( 1/1 000 à < 1/100), rare ( 1/10 000 à < 1/1 000) et très rare (< 1/10 000). Tableau 1 Classe de système d'or-
ganes Fréquence Effets indésirables Infections et infestations Fréquent Infections par candida au niveau de l'oropharynx Affections
du système immunitaire Rare Réactions d'hypersensibilité immédiate et retardée, par exemple exanthème, urticaire, prurit, dermatite, an-
gioedème et réaction anaphylactique Affections endocriniennes Très rare Syndrome de Cushing, suppression surrénale, retard de crois-
sance, diminution de la densité minérale osseuse Troubles du métabolisme et de la nutrition Rare Hypokaliémie Très rare Hyperglycémie
Affections psychiatriques Peu fréquent Agressivité, hyperactivité psychomotrice, anxiété, troubles du sommeil Très rare Dépression, chan-
gements du comportement (principalement chez les enfants) Affections du système nerveux Fréquent Maux de tête, tremblements Peu
fréquent Vertiges Très rare Troubles gustatifs Affections oculaires Très rare Cataracte et glaucomes Affections cardiaques Fréquent Palpi-
tations Peu fréquent Tachycardie Rare Arythmies cardiaques, comme une fi brillation auriculaire, une tachycardie supraventriculaire, des
extrasystoles Très rare Angine de poitrine, allongement de l'intervalle QTc Affections vasculaires Très rare Tension instable Affections res-
piratoires, thoraciques et médiastinales Fréquent Légère irritation de la gorge, toux, voix rauque Rare Bronchospasme Affections gastro-in-
testinales Peu fréquent Nausées Affections de la peau et du tissu sous-cutané Peu fréquent Ecchymoses Affections musculo-squelettiques
et systémiques Peu fréquent Crampes musculaires L'infection par candida au niveau de l'oropharynx est due à la déposition du médica-
ment. Conseiller au patient de se rincer la bouche avec de l'eau après chaque dose minimisera le risque. Les candidoses oropharyngées
répondent généralement au traitement antifongique topique sans qu'il ne soit nécessaire d'interrompre la corticothérapie inhalée. Comme
avec d'autres traitements par inhalation, un bronchospasme paradoxal peut se produire très rarement, affectant moins d'une personne sur
10 000, avec un augmentation immédiate du"wheezing" (respiration diffi cile avec bruit siffl ant) et de l'essouffl ement après l'inhalation. Le
bronchospasme paradoxal répond à un bronchodilatateur inhalé à action rapide et doit être traité immédiatement. SYMBICORT doit être
arrêté immédiatement, le patient doit être réévalué et si nécessaire, un traitement alternatif doit être instauré (voir rubrique (Mises en garde
spéciales et précautions d'emploi'). Des effets systémiques des corticostéroïdes inhalés peuvent se produire, principalement lorsque des
doses élevées sont prescrites pendant de longues périodes. Ces effets apparaîtront probablement beaucoup moins souvent lors d'un
traitement par inhalation que lors d'une corticothérapie orale. Les effets systémiques possibles sont: syndrome de Cushing, caractéris-
tiques cushingoïdes, suppression de la fonction des glandes surrénales, ralentissement de la croissance chez les enfants et les adoles-
cents, diminution de la densité minérale des os, cataracte et glaucome. Une augmentation de la sensibilité aux infections et un trouble de
la capacité à s'adapter au stress peuvent aussi se produire. Les effets sont probablement dépendants de la dose, du temps d'exposition,
de l'exposition concomitante et antérieure et de la sensibilité individuelle. Un traitement par agonistes ß
2
-adrénergiques peut se traduire
par une augmentation des taux d'insuline, des acides gras libres, du glycérol, et des corps cétoniques dans le sang.
5. TITULAIRE DE
L'AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE NV AstraZeneca SA Rue Egide Van Ophem 110 B-1180 Bruxelles Tel: +32(0)2/370
48 11
6. NUMERO(S) D'AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE BE220534 7. STATUT LEGAL DE DELIVRANCE Médi-
cament soumis à prescription médicale
8. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE Date de mise
à jour du texte: février 2013. Date de l'approbation du texte: 03/2013.
Prix
Cotisation
Cotisation
Supplément
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Symbicort® Turbohaler®
160/4.5µg/dose ­ 120 doses
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