de la solidité osseuse. mentaire de calcium, environ 600 à 700 mg, reste in- férieure à la dose journalière recommandée, 1.200 mg. mentaire de calcium, à savoir les produits laitiers, n'est pas chose simple (hypercholestérolémie, intolérance au lactose...). Le recours à un supplément calcique est donc généralement nécessaire. hautes doses de calcium. Elles pourraient entraîner une augmentation du risque cardiovasculaire. leures. Une étude récente et très étendue mée et la santé osseuse n'est pas linéaire. Là où une prise totale inférieure à 750 mg par jour est clairement insuffisante, une consommation totale de calcium de 1.100 à 1.200 mg semble optimale pour la solidité os- seuse alors qu'une prise plus élevée n'apporte pas de bénéfice supplémentaire, au contraire. la carence calcique doit être de préférence corrigée par l'alimentation combinée alors à un supplément de 500 mg de calcium. diminue significativement le risque de chutes. envers les suppléments calciques, arrivent à la même conclusion : seulement 1 femme sur 2 poursuit sa supplé- mentation. prise (pas de goût, pas de préparation) sont des facteurs essentiels pour garantir la compliance et l'efficacité de la supplémentation calcique CONSERVATEUR DES TENDINOPATHIES DU GENOU (Service Pluridisciplinaire Orthopédie Rééducation Traumatologie Santé - Sportif), CHU de Liège, ULg; 2. Département des Sciences de la Motricité, ULg don. Par contre, le travail excentrique a pour but de contrecarrer le théorie étiopathogénique proposant une insuffisance de résistance du tendon exposé à des charges externes qui peuvent progressivement entrainer des lésions. Les résultats cliniques de traitements «actifs» montrent souvent une évolution favorable de la symptomatologie. Les ondes de choc extracorporelles demeurent une option thérapeutique non-invasive et génèrent peu de complications. De plus, elles sont employées avec succès pour traiter des tendinopathies chroniques rebelles aux traitements conservateurs classiques. Le plasma riche en plaquettes (PRP) est obtenu par centrifugation de sang autologue afin d'obtenir une grande concentration plaquettaire dépendant de la technique employée. Malgré la preuve de l'efficacité du PRP sur la régénération tissulaire en laboratoire, il existe actuellement peu de preuves cliniques tangibles concernant le traitement des tendino- pathies chroniques. Enfin, d'autres nouvelles options thérapeutiques (patches de dérivés nitrés, infiltrations de polidocanol, d'acide hyaluronique et de cellules souches) sont également proposées. R T HO processus multifactoriel, faisant intervenir des facteurs intrinsèques et extrinsèques qui évoluent de manière indépendante ou en combinaison (1). En particulier, des charges mécaniques répétitives et/ou l'application de sol- licitations dépassant la résistance du tendon pourraient entraîner progressivement des lésions micro- et macro- scopiques. Les fibres de collagène commencent à se déna- turer, causant progressivement la tendinopathie. Celle-ci peut causer, ultérieurement, une rupture partielle voire pagnent de l'apparition d'une néovascularisation associée à une néo-innervation à l'origine de douleurs à caractère chronique. Finalement, le tendon âgé est caractérisé par un métabolisme ralenti, avec une diminution progressive de son élasticité et de sa résistance à la traction (1). sont la conséquence d'un manque de consensus concer- nant leur traitement et de l'efficacité relative probable des traitements conventionnels (1). Une autre cause de récurrence des tendinopathies correspond à l'absence de |