de la solidité osseuse. mentaire de calcium, environ 600 à 700 mg, reste in- férieure à la dose journalière recommandée, 1.200 mg. mentaire de calcium, à savoir les produits laitiers, n'est pas chose simple (hypercholestérolémie, intolérance au lactose...). Le recours à un supplément calcique est donc généralement nécessaire. hautes doses de calcium. Elles pourraient entraîner une augmentation du risque cardiovasculaire. leures. Une étude récente et très étendue mée et la santé osseuse n'est pas linéaire. Là où une prise totale inférieure à 750 mg par jour est clairement insuffisante, une consommation totale de calcium de 1.100 à 1.200 mg semble optimale pour la solidité os- seuse alors qu'une prise plus élevée n'apporte pas de bénéfice supplémentaire, au contraire. la carence calcique doit être de préférence corrigée par l'alimentation combinée alors à un supplément de 500 mg de calcium. diminue significativement le risque de chutes. envers les suppléments calciques, arrivent à la même conclusion : seulement 1 femme sur 2 poursuit sa supplé- mentation. prise (pas de goût, pas de préparation) sont des facteurs essentiels pour garantir la compliance et l'efficacité de la supplémentation calcique des memBres inférieurs chez l'enfant et l'adOlescent 2. Ziekenhuis Oost-Limburg, Genk; 3. Orthopédie pédiatrique, service d'Orthopédie, uZ Leuven; 4. Equipe multidisciplinaire de médecine du sport pédiatrique, service d'Orthopédie, uZ Leuven r t ho tition qui sont parfois très exigeants pour l'organisme. Par conséquent, les médecins sont de plus en plus sou vent confrontés à des lésions sportives aiguës ou chro niques interférant ou non avec la croissance de l'enfant. Le problème avec les enfants est qu'ils peuvent aussi venir consulter pour un problème pédo-orthopédique spécifique aggravé ou non par leurs activités sportives. Dans cet ar ticle, nous tenterons de dresser un récapitulatif sommaire mais pratique des symptômes les plus fréquents des diffé rentes affections sportives et non spécifiques au sport dont un enfant sportif est susceptible de souffrir. sence de traumatisme direct ou d'une autre raison évidente, il convient toujours d'envisager un problème intraarticu laire au niveau de la hanche. Gardez toujours à l'esprit que les enfants ayant un problème de hanche peuvent venir consulter pour une douleur au genou qui est en réalité une lors primordial, lors de chaque examen clinique du genou, de vérifier systématiquement aussi l'articulation de la hanche. Ceci vaut tout particulièrement pour les enfants de 11 à 15 ans en pleine croissance qui se présentent avec une épiphysiolyse de la tête du fémur. Il s'agit habituellement de garçons plus enveloppés et atteints d'hypogonadisme, mais si elles sont trop poussées, les activités sportives peuvent entraîner un glissement (subaigu) de l'épiphyse du fémur. La rotation interne de la hanche aura dans ce cas une amplitude moindre et une bonne radiographie du bassin complétée d'une incidence de Lauenstein permet tra d'apporter des éclaircissements (Figure 1). Une épi physiolyse nécessite une hospitalisation immédiate pour stabilisation chirurgicale du glissement le plus rapidement possible ou le premier jour de l'opération suivant le renvoi. Des enfants qui boitent peuvent toutefois aussi se présen ter en consultation vers l'âge de 46 ans avec une synovite passagère de la hanche survenant à la suite d'une activité sportive, surtout s'ils ont souffert d'un rhume ou d'un état grippal la semaine précédente. La prise de sang devrait toutefois être rassurante en indiquant une augmentation limitée du taux de CRP et de la vitesse de sédimentation. logie qui n'est pas directement liée à leurs activités. Dans un premier temps, le médecin traitant devra s'assurer que l'enfant qui boite n'est pas atteint d'un trouble orthopédique intra-articulaire ou pédiatrique n'ayant aucun lien direct avec les activités sportives. Il im- porte dès lors d'utiliser un algorithme diagnostique différentiel strict qui tient également compte de l'âge de l'enfant. |