primé pelliculé contient 2,5 mg de létrozole. Pour la liste complète des excipients, voir la notice complète. cer du sein précoce à récepteurs hormonaux positifs. Extension du traitement adjuvant chez les femmes post-ménopausées ayant un cancer du sein précoce hormono-dépendant et ayant déjà reçu une théra- pie adjuvante standard par tamoxifène pendant 5 ans. Traitement de première ligne chez les femmes post-ménopausées ayant un cancer du sein avancé hormono-dépendant. Traitement du cancer du sein avancé chez les femmes présentant un état post-ménopausique naturel ou artificiellement induit, après une récidive ou une progression de la maladie, et ayant déjà été traitées par des anti-oestrogènes. L'efficacité n'a pas été démontrée chez les patientes ayant un cancer du sein à récepteurs hormonaux négatifs. saire d'ajuster la dose chez les patientes âgées. Dans le cadre du traitement adjuvant, on recommande de poursuivre le traitement pendant 5 ans ou jusqu'à la survenue d'une réci- dive de la tumeur. Dans le cadre du traitement adjuvant, on dispose d'une expérience clinique de 2 ans (la durée médiane du traitement était de 25 mois). Dans le cadre d'une extension du traitement adju- vant, on dispose d'une expé- rience clinique de 4 ans (durée médiane du traitement). Chez les patientes ayant une maladie avancée ou métastatique, il faut poursuivre le traitement par Femara jusqu'à ce que la progression de la tumeur soit évidente. Sans objet. Il n'est pas nécessaire d'ajuster la dose chez les patientes ayant une insuffisance rénale avec une clairance de la créatinine supérieure à 30 ml/min. Les d o n n é e s d i s p o n ib l e s s o nt insuffisantes dans les cas d'in- suf fisance rénale avec une clairance de la créatinine infé- rieure à 30 ml/min ou chez les patientes ayant une insuf fi- sance hépatique sévère (voir notice complète). à la substance active ou l'un des excipients. État endocri- nien préménopausique ; gros- sesse ; allaitement (voir notice complète). études cliniques évaluant le traitement de première ligne et de seconde ligne en cas de cancer du sein avancé et le traitement adjuvant en cas de c a n c e r d u s e i n p r é c o c e, Femara était généralement bien toléré. Jusqu'à environ un tiers des patientes traitées par F e m a r a d a n s l e c a d r e d e métastases, jusqu'à environ 70 à 75 % des patientes recevant un traitement adjuvant (tant dans le bras Femara que dans le bras tamoxifène) et jusqu'à environ 40 % des patientes recevant une extension du trai- tement adjuvant (tant dans le bras Femara que dans le bras placebo) ont présenté des réactions indésirables. De manière générale, les réactions indésirables observées sont p r i n c i p a l e m e n t d e n a t u r e légère ou modérée. La plupart des réactions indésirables peuvent être attribuées aux conséquences pharmacologiques normales d'une privation en oestrogènes (par ex. bouffées de cha- leur). Les réactions indésirables les plus fréquemment rapportées lors des études cliniques étaient des bouffées de chaleur, des arthralgies, des nausées et une fatigue. De nombreuses réactions indésirables peuvent être attribuées aux conséquences pharmacologiques normales d'une privation en oestrogènes (par ex. bouffées de chaleur, alopécie et hémorragies vaginales). Après un traitement adjuvant standard par tamoxifène, sur base d'un suivi médian de 28 mois, la fréquence des effets indésirables suivants était significativement plus élevée dans le groupe Femara que dans le groupe placebo, indépendamment d'un lien de causalité avec le traitement : bouffées de chaleur (50,7 % contre 44,3 %), arthralgies/arthrite (28,5 % contre 23,2 %) et myalgies (10,2 % contre 7,0 %). La majorité de ces effets indésirables étaient observés durant la première année du traitement. L'incidence de l'ostéoporose et des fractures osseuses était plus élevée mais non significative chez les patientes ayant reçu Femara, par rapport aux patientes ayant reçu le placebo (respectivement 7,5 % contre 6,3 % et 6,7 % contre 5,9 %). Lors d'une analyse actualisée réalisée dans le cadre d'une extension du traitement adjuvant, avec une durée médiane du traitement de 47 mois pour le létrozole et de 28 mois pour le placebo, la fréquence des effets indésirables suivants était significativement plus élevée dans le groupe Femara que dans le groupe placebo, indépen- damment d'un lien de causalité avec le traitement : bouffées de chaleur 60,3 % contre 52,6 %), arthral- gies/arthrite (37,9 % contre 26,8 %) et myalgies (15,8 % contre 8,9 %). La majorité de ces effets indésirables étaient observés durant la première année du traitement. Chez les patientes du bras pla- cebo passées à un traitement par Femara, on observait un profil similaire d'effets généraux. A tout fractures osseuses était plus élevée chez les patientes ayant reçu Femara, par rapport aux patientes ayant reçu le placebo (respective- ment 12,3 % contre 7,4 % et 10,9 % contre 7,2 %). Chez les patientes passées à un traitement par Femara, à tout moment après ce passage, on a rapporté la survenue d'une ostéoporose nouvellement diagnostiquée et de fractures chez respectivement 3,6 % et 5,1 % des patientes. Dans le cadre d'un traitement adjuvant, indépendamment d'un lien de causalité avec le traite- ment, à tout moment après la randomisation, les effets indésirables suivants survenaient respectivement dans les groupes Femara et tamoxiféne : incidents thromboemboliques (1,5 % contre 3,2 %, P < 0,001), angor (0,8 % contre 0,8 %), infarctus du myocarde (0,7 % contre 0,4 %) et insuffisance cardiaque (0,9 % contre 0,4 %, P = 0,006). Les réactions indésirables suivantes, décrites ci-dessous, ont été rapportées cliniques et au cours de l'expé- rience post-marketing (Les réactions indésirables sont classées par ordre décroissant de fréquence, en utilisant la convention suivante : Très fré- q u e n t 1/10 ; f r é q u e n t 1/100, < 1/10 ; peu fréquent 1/1 0 0 0, < 1/10 0 ; ra re 1/10 000, < 1/1 000 ; très rare < 1/10 000, y compris cas isolés.). Infections et infesta- tions : Peu fréquent : Infection des voies urinaires ; Tumeurs bénignes, malignes et non pré- cisées (incl. kystes et polypes) : Peu fréquent : Douleur tumo- rale (non applicable dans le cadre d'un traitement adjuvant et d'une extension du traite- ment adjuvant) ; Affections hématologiques et du système lymphatique : Peu fréquent : Leucopénie ; Troubles du métabolisme et de la nutrition : Fréquent : Anorexie, augmen- tation de l'appétit, hypercho- lestérolémie ; Peu fréquent : OEdème généralisé ; Affections psychiatriques : Fréquent : Dépression ; Peu fréquent : Anxiété incluant une nervosité, une irritabilité ; Affections du système nerveux : Fréquent : Céphalées, vertiges ; Peu fré- quent : Somnolence, insomnie, a l té r a t i o n d e l a m é m o i r e, dysesthésies incluant des paresthésies, une hypoesthé- sie, troubles du goût, accident vasculaire cérébral ; Affections o c u l a i r e s : Pe u f ré q u e nt : Cataracte, irritation oculaire, vision trouble ; Affections car- d i a q u e s : P e u f r é q u e n t : Palpitations, tachyca rdie ; Affections vasculaires : Peu fréquent : Thrombophlébite incluant une thrombophlébite s u p e r f i c i e ll e et p rofo n d e, hypertension, incidents car- diaques ischémiques ; Rare : Embolie pulmonaire, throm- bose artérielle, infarctus vascu- laire cérébral ; Af fections respiratoires, thoraciques et médiastinales : Peu fréquent : Dyspnée, toux ; Affections gastro-intestinales : Fréquent : Nausées, vomissements, dys- pepsie, constipation, diarrhée ; Peu fréquent : Douleur abdo- minale, stomatite, sécheresse buccale ; Affections hépato- b i l i a i r e s : P e u f r é q u e n t : Augmentation des taux d'en- zymes hépatiques ; Fréquence i n d é te r m i n é e : H é p a t i te ; Affections de la peau et du tis- une éruption érythémateuse, maculo-papuleuse, psoriasiforme et vésiculaire ; Peu fréquent : Prurit, sécheresse cutanée, urticaire ; Fréquence indéterminée : Réaction anaphylactique, angio-oedème, nécrolyse épidermique toxique, érythème multiforme ; Affections musculo-squelettiques et systé- miques : Très fréquent : Arthralgies ; Fréquent : Myalgies, douleur osseuse, ostéoporose, fractures osseuses ; Peu fréquent : Arthrite ; Affections du rein et des voies urinaires : Peu fréquent : Augmentation de la fréquence des mictions (pollakiurie) ; Affections des organes de reproduction et du sein : Peu fréquent : Hémorragies vaginales, leucorrhée, sécheresse vaginale, douleur au niveau des seins ; Troubles généraux et anomalies au site d'administration : Très fréquent : Bouffées de chaleur, fatigue incluant une asthénie ; Fréquent : Malaise, oedème périphérique ; Peu fréquent : Pyrexie, sécheresse des muqueuses, soif ; Investigations : Fréquent : Prise de poids ; Peu fréquent : Perte de poids. B-1800 Vilvoorde, BE182926. 1 - 7 1 8 7 plutôt que sur des considérations d'ordre infrastructurel et socioéconomique. La FIV proactive n'est une alternative à part entière qu'en cas de relation stable, tandis que la FIV classique n'a les mêmes chances de réussite que jusqu'à un certain âge. Un certain nombre de remarques doivent toutefois être formulées. En effet, le risque existe que des «choix de vie» soient faits en se fondant à l'excès sur la réserve d'ovocytes congelés. Qu'advient-il, par ailleurs, des ovocytes restants? Un certain nombre de patientes de plus de 35 ans n'utiliseront plus les ovocytes, car elles auront eu une relation entre-temps, avec une chance substan- tielle de grossesse naturelle. Que faire également avec les ovocytes restants après le décès de la femme? faire congeler des ovocytes a révélé que 51% des femmes belges âgées de 20 à 40 ans ne le feraient pas. En re- vanche, 3% affirment effectivement vouloir le faire et un petit 30% l'envisageraient. Les Flamandes ont un point de vue un peu plus progressiste que les Wallonnes sur le « UZ Gent Résumé de Marije van de Water, GSO, et Tjalina Hamerlynck, GSO gie lorsqu'un ovocyte de la mère demandeuse est fécondé par un spermatozoïde du père demandeur à l'aide d'une FIV, puis implanté chez une mère porteuse. porteuse est considérée comme la mère de l'enfant. Le juge peut même décider de placer l'enfant dans une autre famille que celle des parents demandeurs. La loi de 2007 relative à la PMA stipule que les limites d'âge pour la ma- ternité de substitution sont fixées entre 18 et 47 ans (si la demande a été introduite avant le 45 de haute technologie est précédée d'une longue procédure de minimum 6 mois. Une évaluation psychosociale est réalisée par un psychologue et un psychiatre. Un contrat de maternité de substitution est établi, et même s'il n'a aucune valeur juridique, il importe que toutes les parties aient bien considéré tous les aspects juridiques potentiels. Un bilan médical complet des parents demandeurs et de la mère porteuse est réalisé par un gynécologue et un interniste/cardiologue; si la mère porteuse a plus de 40 ans, elle doit même se soumettre à un test d'effort sur vélo. Tous les cas sont examinés par le staff interne et, en d'éthique. Ce dernier utilise des critères drastiques: âge, indication médicale stricte (absence d'utérus, grossesse potentiellement mortelle pour la mère demandeuse), bon état de santé général de la mère porteuse, maternité de substitution comme solution de la dernière chance et pa- rents demandeurs et mère porteuse de nationalité belge. Les limites d'âge susmentionnées sont d'application, la candidate mère porteuse doit avoir au moins 1 enfant en vie et il doit être question d'une motivation reposant sur des convictions et non commerciale. l'UZ Gent: 12 à la suite d'une hystérectomie, 9 pour cause de syndrome de Mayer-Rokitansky-Kuster-Hauser, 1 en raison de fausses couches à répétition, 2 après de mul- tiples échecs de la FIV et 2 en raison d'un risque pour la mère en cas de grossesse. Seize d'entre elles ont été soumises au Comité d'éthique et six ont finalement reçu un avis positif. Il s'agissait de 5 patientes souffrant du syndrome de Mayer-Rokitansky-Kuster-Hauser et d'une patiente ayant subi une hystérectomie. Trois mères por- teuses ont donné naissance à un seul enfant et deux à des jumeaux. Un couple n'a pas pu entamer la procédure en raison d'un problème médical inattendu chez la mère porteuse. Sur les 6 mères porteuses, 4 étaient la mère de la mère demandeuse, 1 la belle-mère et 1 une soeur de la mère demandeuse. Depuis 2007, il est plus difficile pour les mères des mères demandeuses d'être la mère porteuse, et ce en raison de la limite d'âge de 47 ans. L'âge moyen des mères demandeuses et des mères porteuses s'élevait respectivement à 26 et 46 ans. nécessaires. A deux reprises, une grossesse s'est soldée par une fausse couche. Une patiente enceinte de jumeaux a été victime d'une pré-éclampsie et l'accouchement a dû être provoqué à 31+2 semaines. Aujourd'hui, on ne pra- tique plus jamais de transfert de deux embryons, ce qui réduit le risque de grossesse gémellaire. Tous les enfants se portaient bien à la naissance. Seuls les jumeaux nés prématurément ont été gardés en néonatalogie pen- dant 5 semaines avant de sortir de l'hôpital en bonne santé. Aucun problème psychologique n'a été décelé chez les parents demandeurs ni chez les mères porteuses. Dans 3 des cas, la longue procédure d'adoption est déjà terminée. mental stable et les mères porteuses avaient des moyens financiers suffisants et n'étaient pas motivées par l'argent. Les parties ont bénéficié de suffisamment de temps pour entamer la procédure en ayant bien considéré les diffé- rents aspects et un suivi médical minutieux a été assuré. La substitution de maternité de haute technologie est possible pour des indications spécifiques, lorsque le désir d'enfant ne peut pas être satisfait d'une autre manière. |