This is a standardized file. Printers must adapt it to their own Anna ILKOVICS Dominique FAUTREZ Dirk VANDEPUTTE Rafael SERRANO Pascal DELEERS primés orodispersibles. ZYPREXA VELOTAB 10 mg, comprimés orodispersibles. primé orodispersible contient 0,60 mg d'aspartam, 0,1125 mg de parahydroxybenzoate de méthyle sodé, 0,0375 mg de parahydroxybenzoate de propyle sodé. ZYPREXA VELOTAB 10 mg : Chaque comprimé orodispersible contient 10 mg d'olan- zapine. Excipients : Chaque comprimé orodispersible contient 0,80 mg d'aspartam, 0,15 mg de parahydroxybenzoate de méthyle sodé, 0,05 mg de parahydroxybenzoate de propyle sodé. Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1. 3. FORME PHARMACEUTIQUE Comprimé orodispersible. Lyophilisat oral jaune et rond, préparation à dissolution rapide, qui peut être placé dans la bouche ou alternativement être dissous dans de l'eau ou dans tout autre boisson adaptée avant administration. 4. DONNEES CLINIQUES 4.1 Indications thérapeutiques Adultes L'olanzapine est indiquée dans le traitement de la schizophrénie. Chez les patients ayant initialement répondu au traitement, l'olanzapine a démontré son efficacité à maintenir cette amélioration clinique au long cours. L'olanzapine est indiquée dans le traitement des épisodes maniaques modérés à sévères. L'olanzapine est indiquée dans la prévention des récidives chez les patients présentant un trouble bipolaire, ayant déjà répondu au traitement par l'olanzapine lors d'un épisode maniaque (voir rubrique 5.1). monothérapie ou 10 mg par jour en association (voir rubrique 5.1). Prévention des récidives dans le cadre d'un trouble bipolaire : La dose initiale recommandée est de 10 mg/jour. Chez les patients traités par l'olanzapine lors d'un épisode maniaque, pour la prévention des récidives, le traitement sera maintenu à la même dose. Si un nouvel épisode (maniaque, mixte ou dépressif) survient, le traitement par olanzapine doit être poursuivi (à la posologie optimale). Selon l'expression clinique de l'épisode, un traitement de la symptomatologie thymique sera associé. Dans toutes les indications, la posologie journalière de l'olanzapine peut être adaptée en fonction de l'état clinique du patient entre 5 et 20 mg par jour. Une augmentation à des doses plus importantes que la dose initiale recommandée n'est conseillée qu'après une réévaluation clinique appropriée et ne doit généralement être envisagée qu'à intervalles de 24 heures minimum. L'olanzapine peut être administrée pendant ou en dehors des repas, la prise de nourriture n'ayant pas d'incidence sur l'absorption. Il convient de diminuer progressivement les doses lors de l'arrêt de l'olanzapine. ZYPREXA VELOTAB comprimé orodispersible doit être placé dans la bouche où il sera rapidement dissous dans la salive, et donc facilement avalé. Une fois dans la bouche, il est difficile de retirer intact, le comprimé orodispersible. Le comprimé orodispersible étant friable, il doit être administré immédiatement après ouverture de la plaquette thermoformée. Il peut être également dissous dans un grand verre d'eau ou dans tout autre boisson adaptée (jus d'orange, jus de pomme, lait ou café) immédiatement avant administration. Le comprimé orodispersible d'olanzapine est bioéquivalent aux comprimés enrobés d'olanzapine, avec un taux et un niveau d'absorption similaires. La posologie et la fréquence d'administration de cette forme sont identiques à celles des comprimés enrobés. L'olanzapine comprimé orodispersible peut être utilisé comme une alternative à la forme comprimé enrobé. Population pédiatrique L'utilisation de l'olanzapine chez les enfants et les adolescents âgés de moins de 18 ans n'est pas recommandée du fait du manque de données sur la sécurité d'emploi et l'efficacité. Une prise de poids, des anomalies lipidiques et des taux de prolactine ont été rapportées selon une ampleur plus élevée dans les études à court terme chez les patients adolescents comparativement aux études chez les patients adultes (voir rubriques 4.4, 4.8, 5.1 et 5.2). Patients âgés Une dose initiale plus faible (5 mg par jour) n'est pas indiquée de façon systématique mais doit être envisagée chez les patients âgés de 65 ans et plus lorsque des facteurs cliniques le justifient (voir rubrique 4.4). Insuffisants rénaux et/ou hépatiques Une dose initiale plus faible (5 mg par jour) doit être envisagée pour ces patients. En cas d'insuffisance hépatique modérée (cirrhose, Child-Pugh de classe A ou B), la dose initiale devra être de 5 mg et sera augmentée avec précaution. Sexe La dose initiale et l'intervalle de doses ne nécessitent pas d'adaptation chez la femme par rapport à l'homme. Fumeurs La dose initiale et l'intervalle de doses ne nécessitent pas d'adaptation chez les non fumeurs par rapport aux fumeurs. L'existence de plus d'un facteur pouvant ralentir le méta- bolisme (sexe féminin, sujet âgé, non fumeur) peut justifier une réduction de la dose initiale. Lorsqu'elle est indiquée, l'augmentation posologique sera faite avec précaution chez ces patients. Si une progression posologique de 2,5 mg est nécessaire, les comprimés enrobés de Zyprexa doivent être utilisés. (Voir rubriques 4.5 et 5.2). nophilie, augmentation des taux de prolactine, de cholestérol, de la glycémie et de la triglycéridémie (voir rubrique 4.4), glucosurie, aug- mentation de l'appétit, sensation vertigineuse, akathisie, parkinsonisme (voir rubrique 4.4), dyskinésie, hypotension orthostatique, effets anticholinergiques, élévations transitoires asymptomatiques des aminotransférases (voir rubrique 4.4), rash, asthénie, fatigue et oedème. La liste des effets indésirables présentés dans le tableau suivant a été établie à partir du recueil des évènements indésirables et des examens de laboratoire issus de la notification spontanée et des essais cliniques. Au sein de chaque catégorie de fréquence, les effets indésirables sont présentés par ordre de gravité décroissante. Les catégories de fréquence sont définies ainsi : Très fréquent ( 10%), fréquent ( 1%, < 10%), peu fréquent ( 0,1%, < 1%), rare ( 0,01%, < 0,1%), très rare (< 0, 01%), fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles). ou égale à 7% par rapport au poids initial a été très fréquente (22%), une augmentation de poids supérieure ou égale à 15% par rapport au poids initial a été fréquente (4,2%) et une augmentation de poids supérieure ou égale à 25% par rapport au poids initial a été peu fréquente (0,8%). Une augmentation de poids supérieure ou égale à 7%, à 15% et à 25% par rapport au poids initial a été très fréquente (64,4%, 31,7% et 12,3% respectivement) lors d'une utilisa- tion prolongée (au moins 48 semaines). traitement. ( 5,17- < 6,2 mmol/l) à des valeurs élevées ( 6,2 mmol/l) a été très fréquente. à jeun ayant une valeur limite au début du traitement ( 5,56 - < 7 mmol/l) à des valeurs élevées ( 7 mmol/l) a été très fréquente. - < 2,26 mmol/l) à des valeurs élevées ( 2,26 mmol/l) a été très fréquente. placebo (pas de différence statistique significative). Les patients traités par l'olanzapine ont présenté une plus faible incidence de troubles parkinsoniens, d'akathisie et de dystonie que les patients traités par l'halopéridol à des posologies comparables. En l'absence d'information précise concernant les antécédents de mouvements anormaux extrapyramidaux de survenue aiguë ou tardive, on ne peut conclure à ce jour que l'olanzapine entraîne moins de dyskinésies tardives et/ ou de syndromes extrapyramidaux tardifs. des patients traités avec l'olanzapine et ayant un taux de prolactine normal au début du traitement. Chez la majorité de ces patients, les augmentations étaient généralement légères et sont restées inférieures à deux fois la limite supérieure de la normale. Généralement, chez les patients traités avec l'olanzapine, les répercussions cliniques potentiellement associées au niveau mammaire et sur les cycles menstruels (par exemple, aménorrhée, tension mammaire, galactorrhée chez les femmes et gynécomastie/tension mammaire chez les hommes) ont été peu fréquentes. Des réactions indésirables potentiellement associées à la fonction sexuelle (par exemple, dysfonction érectile chez les hommes et diminution de la libido chez les femmes et les hommes) ont été fréquemment observées. Utilisation prolongée (au moins 48 semaines) La proportion de patients ayant présenté des modifications indésirables cliniquement significatives du poids (augmentation), du glucose, du cholestérol total/HDL/LDL ou des triglycérides a augmenté au cours du temps. Chez les patients adultes qui ont suivi 9-12 mois de traitement, le taux d'augmentation de la glycémie sanguine moyenne a diminué après 6 mois environ. Information complémentaire concernant des populations particulières Au cours d'essais cliniques chez des patients âgés déments, le traitement par olanzapine a été associé à une incidence supérieure de décès et d'événements indésirables vasculaires cérébraux par rapport au placebo (voir rubrique 4.4). Une démarche anormale et des chutes ont été des événements indésirables très fréquemment rapportés avec olanzapine. Des pneumopathies, une augmentation de la température corporelle, une léthargie, un érythème, des hallucinations visuelles et des incontinences urinaires ont été fréquemment observés. Au cours d'essais cliniques menés chez des patients parkinsoniens souffrant de psychoses médi- camenteuses (agonistes dopaminergiques), une aggravation de la symptomatologie parkinsonienne et des hallucinations ont été très fréquemment rapportées et ce, de façon plus fréquente, qu'avec le placebo. Au cours d'un essai clinique mené chez des patients présentant un épisode maniaque dans le cadre de troubles bipolaires, lors de la prise conco- mitante de valproate la fréquence des neutropénies a été de 4,1% ; un facteur contributif potentiel pourrait être des taux plasmatiques élevés de valproate. Une augmentation supérieure à 10% des cas de tremblements, bouche sèche, augmentation de l'appétit et prise de poids a été observée lors de l'association de l'olanzapine au lithium ou au valproate. Des troubles de l'élocution ont également été fréquemment rapportés. Lors de l'association de l'olanzapine au lithium ou au valproate une augmentation supérieure ou égale à 7% du poids initial est survenue chez 17,4% des patients pendant la phase aiguë du traitement (jusqu'à 6 semaines). Lors du traitement au long cours par l'olanzapine (jusqu'à 12 mois) dans la prévention des récidives chez les patients présentant un trouble bipolaire, une augmentation de poids supérieure ou égale à 7% par rapport au poids initial a été rapportée chez 39,9% des patients. Population pédiatrique L'olanzapine n'est pas indiquée chez les enfants et adolescents âgés de moins de 18 ans. Bien qu'aucune étude clinique comparant les adolescents aux adultes n'ait été réalisée, les données issues des études réali- sées chez l'adolescent ont été comparées à celles issues des essais chez l'adulte. Le tableau suivant résume les effets indésirables rapportés avec une fréquence plus importante chez les patients adolescents (âgés de 13 à 17 ans) que chez les patients adultes ou les effets indésirables uniquement observés lors des essais cliniques de courte durée réalisés chez les patients adolescents. Une prise de poids cliniquement significative ( 7%) surviendrait plus fréquemment chez les adolescents comparés à des patients adultes avec une exposition comparable. L'amplitude de la prise de poids et la proportion des patients adolescents qui ont eu une augmentation du poids cliniquement significative ont été plus importantes lors d'une exposition prolongée (au moins 24 semaines) que lors d'une exposition de courte durée. Au sein de chaque catégorie de fréquence, les effets indésirables sont présentés par ordre de gravité décroissante. Les catégories de fréquence sont définies ainsi : Très fréquent ( 10%), fréquent ( 1%, < 10%). 15% par rapport au poids initial a été fréquente (7,1%) et une augmentation de poids supérieure ou égale à 25% par rapport au poids initial a été fréquente (2,5%). Lors d'une exposition prolongée (au moins 24 semaines), 89,4% des patients ont eu une augmentation du poids supérieure ou égale à 7%, 55,3% ont eu une augmentation de poids supé- rieure ou égale à 15% et 29,1% ont eu une augmentation de poids supérieure ou égale à 25% par rapport à leur poids initial. ( 1,016 - < 1,467 mmol/l) devenant élevée ( 1,467 mmol/l). modifications des taux de cholestérol total à jeun ayant une valeur limite au début du traitement ( 4,39 - < 5,17 mmol/l) devenant élevée ( 5,17 mmol/l) ont été très fréquentes. 8. NUMERO(S) D'AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE ZYPREXA VELOTAB 5 mg : EU/1/99/125/001 - EU/1/99/125/017 ZYPREXA VELOTAB 10 mg : EU/1/99/125/002 - EU/1/99/125/018 renouvellement de l'autorisation: 27 septembre 2006 disponibles sur le site internet de l'Agence européenne du médicament http://www.ema.europa.eu. Akathisie atteintes hépatiques cytolytiques, cholestatiques ou mixtes) néonatal (voir section 4.6) la prolactinémie alcalines |