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Philippe Chapuis
03/01/2012
AI1100774
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2xA4
Wave 3
Lilly
Zyprexa
Belgium
French
420 x 297 mm
Emmanuèle Claeys
--
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MD Level 2
MD Level 3
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Anna ILKOVICS
Dominique FAUTREZ
Dirk VANDEPUTTE
Rafael SERRANO
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Pascal DELEERS
PROCESS CYAN
PROCESS MAGENTA
PROCESS YELLOW
PROCESS BLACK
Troubles du métabolisme et de la nutrition
Très fréquent: Prise de poids
9
, augmentation de la triglycéridémie
10
, augmentation de l'appétit.
Fréquent: Augmentation de la cholestérolémie
11
Affections du système nerveux
Très fréquent: Sédation (dont hypersomnie, léthargie, somnolence)
Affections gastro-intestinales
Fréquent: Bouche sèche
Affections hépato-biliaires
Très fréquent: Elévations des aminotransférases (ASAT, ALAT; voir rubrique 4.4)
Investigations
Très fréquent: Diminution de la bilirubine totale, augmentation de la Gamma Glutamyl Transférase,
augmentation de la prolactinémie
12
RESUME DES CARACTERISTIQUES DU PRODUIT 1. DENOMINATION DU MEDICAMENT ZYPREXA VELOTAB 5 mg, com-
primés orodispersibles. ZYPREXA VELOTAB 10 mg, comprimés orodispersibles.
2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUAN-
TITATIVE ZYPREXA VELOTAB 5 mg : Chaque comprimé orodispersible contient 5 mg d'olanzapine. Excipients : Chaque com-
primé orodispersible contient 0,60 mg d'aspartam, 0,1125 mg de parahydroxybenzoate de méthyle sodé, 0,0375 mg de
parahydroxybenzoate de propyle sodé. ZYPREXA VELOTAB 10 mg : Chaque comprimé orodispersible contient 10 mg d'olan-
zapine. Excipients : Chaque comprimé orodispersible contient 0,80 mg d'aspartam, 0,15 mg de parahydroxybenzoate de
méthyle sodé, 0,05 mg de parahydroxybenzoate de propyle sodé. Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.
3. FORME PHARMACEUTIQUE Comprimé orodispersible. Lyophilisat oral jaune et rond, préparation à dissolution rapide, qui peut
être placé dans la bouche ou alternativement être dissous dans de l'eau ou dans tout autre boisson adaptée avant administration.
4. DONNEES CLINIQUES 4.1 Indications thérapeutiques Adultes L'olanzapine est indiquée dans le traitement de la schizophrénie.
Chez les patients ayant initialement répondu au traitement, l'olanzapine a démontré son efficacité à maintenir cette amélioration clinique
au long cours. L'olanzapine est indiquée dans le traitement des épisodes maniaques modérés à sévères. L'olanzapine est indiquée
dans la prévention des récidives chez les patients présentant un trouble bipolaire, ayant déjà répondu au traitement par l'olanzapine
lors d'un épisode maniaque (voir rubrique 5.1).
4.2. Posologie et mode d'administration Adultes Schizophrénie : La dose initiale
recommandée d'olanzapine est de 10 mg par jour. Episode maniaque : la dose initiale est de 15 mg par jour en une seule prise en
monothérapie ou 10 mg par jour en association (voir rubrique 5.1). Prévention des récidives dans le cadre d'un trouble bipolaire : La
dose initiale recommandée est de 10 mg/jour. Chez les patients traités par l'olanzapine lors d'un épisode maniaque, pour la prévention
des récidives, le traitement sera maintenu à la même dose. Si un nouvel épisode (maniaque, mixte ou dépressif) survient, le traitement
par olanzapine doit être poursuivi (à la posologie optimale). Selon l'expression clinique de l'épisode, un traitement de la symptomatologie
thymique sera associé. Dans toutes les indications, la posologie journalière de l'olanzapine peut être adaptée en fonction de l'état
clinique du patient entre 5 et 20 mg par jour. Une augmentation à des doses plus importantes que la dose initiale recommandée n'est
conseillée qu'après une réévaluation clinique appropriée et ne doit généralement être envisagée qu'à intervalles de 24 heures minimum.
L'olanzapine peut être administrée pendant ou en dehors des repas, la prise de nourriture n'ayant pas d'incidence sur l'absorption.
Il convient de diminuer progressivement les doses lors de l'arrêt de l'olanzapine. ZYPREXA VELOTAB comprimé orodispersible doit
être placé dans la bouche où il sera rapidement dissous dans la salive, et donc facilement avalé. Une fois dans la bouche, il est
difficile de retirer intact, le comprimé orodispersible. Le comprimé orodispersible étant friable, il doit être administré immédiatement
après ouverture de la plaquette thermoformée. Il peut être également dissous dans un grand verre d'eau ou dans tout autre boisson
adaptée (jus d'orange, jus de pomme, lait ou café) immédiatement avant administration. Le comprimé orodispersible d'olanzapine est
bioéquivalent aux comprimés enrobés d'olanzapine, avec un taux et un niveau d'absorption similaires. La posologie et la fréquence
d'administration de cette forme sont identiques à celles des comprimés enrobés. L'olanzapine comprimé orodispersible peut être
utilisé comme une alternative à la forme comprimé enrobé. Population pédiatrique L'utilisation de l'olanzapine chez les enfants et les
adolescents âgés de moins de 18 ans n'est pas recommandée du fait du manque de données sur la sécurité d'emploi et l'efficacité. Une
prise de poids, des anomalies lipidiques et des taux de prolactine ont été rapportées selon une ampleur plus élevée dans les études à
court terme chez les patients adolescents comparativement aux études chez les patients adultes (voir rubriques 4.4, 4.8, 5.1 et 5.2).
Patients âgés Une dose initiale plus faible (5 mg par jour) n'est pas indiquée de façon systématique mais doit être envisagée chez les
patients âgés de 65 ans et plus lorsque des facteurs cliniques le justifient (voir rubrique 4.4). Insuffisants rénaux et/ou hépatiques
Une dose initiale plus faible (5 mg par jour) doit être envisagée pour ces patients. En cas d'insuffisance hépatique modérée (cirrhose,
Child-Pugh de classe A ou B), la dose initiale devra être de 5 mg et sera augmentée avec précaution. Sexe La dose initiale et l'intervalle
de doses ne nécessitent pas d'adaptation chez la femme par rapport à l'homme. Fumeurs La dose initiale et l'intervalle de doses ne
nécessitent pas d'adaptation chez les non fumeurs par rapport aux fumeurs. L'existence de plus d'un facteur pouvant ralentir le méta-
bolisme (sexe féminin, sujet âgé, non fumeur) peut justifier une réduction de la dose initiale. Lorsqu'elle est indiquée, l'augmentation
posologique sera faite avec précaution chez ces patients. Si une progression posologique de 2,5 mg est nécessaire, les comprimés
enrobés de Zyprexa doivent être utilisés. (Voir rubriques 4.5 et 5.2).
4.3 Contre-indications Hypersensibilité à la substance active
ou à l'un des excipients. Patients présentant un risque connu de glaucome à angle fermé.
4.8 Effets indésirables Adultes Les effets
indésirables les plus fréquemment rapportés ( 1% des patients) au cours des essais cliniques ont été : somnolence, prise de poids, éosi-
nophilie, augmentation des taux de prolactine, de cholestérol, de la glycémie et de la triglycéridémie (voir rubrique 4.4), glucosurie, aug-
mentation de l'appétit, sensation vertigineuse, akathisie, parkinsonisme (voir rubrique 4.4), dyskinésie, hypotension orthostatique, effets
anticholinergiques, élévations transitoires asymptomatiques des aminotransférases (voir rubrique 4.4), rash, asthénie, fatigue et oedème.
La liste des effets indésirables présentés dans le tableau suivant a été établie à partir du recueil des évènements indésirables et des examens
de laboratoire issus de la notification spontanée et des essais cliniques. Au sein de chaque catégorie de fréquence, les effets indésirables
sont présentés par ordre de gravité décroissante. Les catégories de fréquence sont définies ainsi : Très fréquent ( 10%), fréquent ( 1%,
< 10%), peu fréquent ( 0,1%, < 1%), rare ( 0,01%, < 0,1%), très rare (< 0, 01%), fréquence indéterminée (ne peut être estimée
sur la base des données disponibles).
1
Une prise de poids cliniquement significative a été observée dans toutes les catégories d'Indice de Masse Corporelle
(IMC) de départ. Après un traitement de courte durée (durée médiane de 47 jours), une augmentation de poids supérieure
ou égale à 7% par rapport au poids initial a été très fréquente (22%), une augmentation de poids supérieure ou égale
à 15% par rapport au poids initial a été fréquente (4,2%) et une augmentation de poids supérieure ou égale à 25%
par rapport au poids initial a été peu fréquente (0,8%). Une augmentation de poids supérieure ou égale à 7%, à 15%
et à 25% par rapport au poids initial a été très fréquente (64,4%, 31,7% et 12,3% respectivement) lors d'une utilisa-
tion prolongée (au moins 48 semaines).
2
Les augmentations moyennes des taux lipidiques à jeun (cholestérol total,
cholestérol LDL et triglycérides) ont été plus élevées chez les patients sans signes de trouble des lipides au début du
traitement.
3
Observée pour des taux à jeun normaux au début du traitement (< 5,17 mmol/l) qui sont devenus élevés
( 6,2 mmol/l). Une augmentation des taux de cholestérol total à jeun ayant une valeur limite au début du traitement
( 5,17- < 6,2 mmol/l) à des valeurs élevées ( 6,2 mmol/l) a été très fréquente.
4
Observée pour des taux à jeun nor-
maux au début du traitement (< 5,56 mmol/l) qui sont devenus élevés ( 7 mmol/l). Une augmentation des taux de glucose
à jeun ayant une valeur limite au début du traitement ( 5,56 - < 7 mmol/l) à des valeurs élevées ( 7 mmol/l) a été très
fréquente.
5
Observée pour des taux à jeun normaux au début du traitement (< 1,69 mmol/l) qui sont devenus élevés (
2,26 mmol/l). Une augmentation des taux de triglycérides à jeun ayant une valeur limite au début du traitement ( 1,69
- < 2,26 mmol/l) à des valeurs élevées ( 2,26 mmol/l) a été très fréquente.
6
Au cours d'essais cliniques, l'incidence
des troubles parkinsoniens et des dystonies dans le groupe olanzapine était numériquement supérieure à celle du groupe
placebo (pas de différence statistique significative). Les patients traités par l'olanzapine ont présenté une plus faible
incidence de troubles parkinsoniens, d'akathisie et de dystonie que les patients traités par l'halopéridol à des posologies
comparables. En l'absence d'information précise concernant les antécédents de mouvements anormaux extrapyramidaux
de survenue aiguë ou tardive, on ne peut conclure à ce jour que l'olanzapine entraîne moins de dyskinésies tardives et/
ou de syndromes extrapyramidaux tardifs.
7
Des symptômes aigus tels sueurs, insomnie, tremblements, anxiété, nausées
et vomissements ont été rapportés lors de l'arrêt brutal du traitement par olanzapine.
8
Dans des études cliniques allant
jusqu'à 12 semaines, une prolactinémie dépassant la limite supérieure de la normale a été observée chez environ 30%
des patients traités avec l'olanzapine et ayant un taux de prolactine normal au début du traitement. Chez la majorité de
ces patients, les augmentations étaient généralement légères et sont restées inférieures à deux fois la limite supérieure
de la normale. Généralement, chez les patients traités avec l'olanzapine, les répercussions cliniques potentiellement
associées au niveau mammaire et sur les cycles menstruels (par exemple, aménorrhée, tension mammaire, galactorrhée
chez les femmes et gynécomastie/tension mammaire chez les hommes) ont été peu fréquentes. Des réactions indésirables
potentiellement associées à la fonction sexuelle (par exemple, dysfonction érectile chez les hommes et diminution de la
libido chez les femmes et les hommes) ont été fréquemment observées.
Utilisation prolongée (au moins 48 semaines) La proportion de patients ayant présenté des modifications indésirables
cliniquement significatives du poids (augmentation), du glucose, du cholestérol total/HDL/LDL ou des triglycérides a
augmenté au cours du temps. Chez les patients adultes qui ont suivi 9-12 mois de traitement, le taux d'augmentation de
la glycémie sanguine moyenne a diminué après 6 mois environ.
Information complémentaire concernant des populations particulières Au cours d'essais cliniques chez des patients âgés
déments, le traitement par olanzapine a été associé à une incidence supérieure de décès et d'événements indésirables
vasculaires cérébraux par rapport au placebo (voir rubrique 4.4). Une démarche anormale et des chutes ont été des
événements indésirables très fréquemment rapportés avec olanzapine. Des pneumopathies, une augmentation de la
température corporelle, une léthargie, un érythème, des hallucinations visuelles et des incontinences urinaires ont été
fréquemment observés. Au cours d'essais cliniques menés chez des patients parkinsoniens souffrant de psychoses médi-
camenteuses (agonistes dopaminergiques), une aggravation de la symptomatologie parkinsonienne et des hallucinations
ont été très fréquemment rapportées et ce, de façon plus fréquente, qu'avec le placebo. Au cours d'un essai clinique
mené chez des patients présentant un épisode maniaque dans le cadre de troubles bipolaires, lors de la prise conco-
mitante de valproate la fréquence des neutropénies a été de 4,1% ; un facteur contributif potentiel pourrait être des
taux plasmatiques élevés de valproate. Une augmentation supérieure à 10% des cas de tremblements, bouche sèche,
augmentation de l'appétit et prise de poids a été observée lors de l'association de l'olanzapine au lithium ou au valproate.
Des troubles de l'élocution ont également été fréquemment rapportés. Lors de l'association de l'olanzapine au lithium ou
au valproate une augmentation supérieure ou égale à 7% du poids initial est survenue chez 17,4% des patients pendant
la phase aiguë du traitement (jusqu'à 6 semaines). Lors du traitement au long cours par l'olanzapine (jusqu'à 12 mois)
dans la prévention des récidives chez les patients présentant un trouble bipolaire, une augmentation de poids supérieure
ou égale à 7% par rapport au poids initial a été rapportée chez 39,9% des patients.
Population pédiatrique L'olanzapine n'est pas indiquée chez les enfants et adolescents âgés de moins de 18 ans. Bien
qu'aucune étude clinique comparant les adolescents aux adultes n'ait été réalisée, les données issues des études réali-
sées chez l'adolescent ont été comparées à celles issues des essais chez l'adulte. Le tableau suivant résume les effets
indésirables rapportés avec une fréquence plus importante chez les patients adolescents (âgés de 13 à 17 ans) que chez
les patients adultes ou les effets indésirables uniquement observés lors des essais cliniques de courte durée réalisés
chez les patients adolescents. Une prise de poids cliniquement significative ( 7%) surviendrait plus fréquemment chez
les adolescents comparés à des patients adultes avec une exposition comparable. L'amplitude de la prise de poids et
la proportion des patients adolescents qui ont eu une augmentation du poids cliniquement significative ont été plus
importantes lors d'une exposition prolongée (au moins 24 semaines) que lors d'une exposition de courte durée. Au sein de
chaque catégorie de fréquence, les effets indésirables sont présentés par ordre de gravité décroissante. Les catégories
de fréquence sont définies ainsi : Très fréquent ( 10%), fréquent ( 1%, < 10%).
9
Après un traitement de courte durée (durée médiane de 22 jours), une augmentation de poids supérieure ou égale
à 7% par rapport au poids initial (kg) a été très fréquente (40,6%), une augmentation de poids supérieure ou égale à
15% par rapport au poids initial a été fréquente (7,1%) et une augmentation de poids supérieure ou égale à 25% par
rapport au poids initial a été fréquente (2,5%). Lors d'une exposition prolongée (au moins 24 semaines), 89,4% des
patients ont eu une augmentation du poids supérieure ou égale à 7%, 55,3% ont eu une augmentation de poids supé-
rieure ou égale à 15% et 29,1% ont eu une augmentation de poids supérieure ou égale à 25% par rapport à leur poids
initial.
10
Observée pour des taux à jeun normaux au début du traitement (< 1,016 mmol/l) qui sont devenus élevés
( 1,467 mmol/l) et des modifications des taux de triglycérides à jeun ayant une valeur limite au début du traitement
( 1,016 - < 1,467 mmol/l) devenant élevée ( 1,467 mmol/l).
11
Des modifications des taux de cholestérol total à jeun
ayant une valeur normale au début du traitement (< 4,39 mmol/l) devenant élevée ( 5,17 mmol/l) a été fréquente. Des
modifications des taux de cholestérol total à jeun ayant une valeur limite au début du traitement ( 4,39 - < 5,17 mmol/l)
devenant élevée ( 5,17 mmol/l) ont été très fréquentes.
12
Augmentation de la prolactinémie rapportée chez 47,4% des
patients adolescents.
6. DONNEES PHARMACEUTIQUES 6.1 Liste des excipients Gélatine Mannitol (E421) Aspartam
(E951) Parahydroxybenzoate de méthyle sodé (E219) Parahydroxybenzoate de propyle sodé (E217)
7. TITULAIRE DE
L'AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE Eli Lilly Nederland BV, Grootslag 1-5, NL-3991 RA Houten, Pays-Bas.
8. NUMERO(S) D'AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE ZYPREXA VELOTAB 5 mg : EU/1/99/125/001 -
EU/1/99/125/017 ZYPREXA VELOTAB 10 mg : EU/1/99/125/002 - EU/1/99/125/018
9. DATE DE LA PREMIERE AUTORI-
SATION / DE RENOUVELLEMENT DE L'AUTORISATION Date de la première autorisation : 3 février 2000 Date du dernier
renouvellement de l'autorisation: 27 septembre 2006
10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE: 24 novembre 2011 STATUT
LEGAL DE DELIVRANCE Médicament soumis à prescription médicale. Des informations détaillées sur ce médicament sont
disponibles sur le site internet de l'Agence européenne du médicament http://www.ema.europa.eu.
Les notices de Zyprexa® comprimés enrobés peuvent être demandées au service d'Information Médicale de
Lilly Benelux (+32 (0)2 548 84 94).
Très fréquent Fréquent
Peu fréquent
Fréquence indéterminée
Affections hématologiques et du système lymphatique
Eosinophilie
Leucopénie
Neutropénie
Thrombocytopénie
Affections du système immunitaire
Réaction allergique
Troubles du métabolisme et de la nutrition
Prise de poids
1
Augmentation de la cholestérolémie
2,3
Augmentation de la glycémie
4
Augmentation de la triglycéridémie
2,5
Glucosurie
Augmentation de l'appétit
Survenue ou exacerbation d'un
diabète, associée parfois à une
acidocétose ou un coma, avec une
issue fatale pour certains cas
(voir rubrique 4.4); Hypothermie
Affections du système nerveux
Somnolence
Vertiges
Akathisie
6
Parkinsonisme
6
Dyskinésie
6
Convulsions avec, dans la plupart des
cas, des antécédents de convulsions
ou bien des facteurs de risque de
convulsions rapportés; Syndrome
Malin des Neuroleptiques (voir
rubrique 4.4); Dystonie (incluant des
crises oculogyres); Dyskinésie tardive;
Symptômes à l'arrêt du traitement
7
Affections cardiaques
Bradycardie
Allongement du QTc
(voir rubrique 4.4)
Tachycardie/fi brillation ventriculaire
Mort subite (voir rubrique 4.4)
Affections vasculaires
Hypotension orthostatique
Atteinte thrombo-embolique
(comprenant embolie pulmo-
naire et thrombose veineuse
profonde) (voir rubrique 4.4)
Affections gastro-intestinales
Effets anticholinergiques
légers et transitoires tels que
constipation et bouche sèche
Pancréatite
Affections hépato-biliaires
Elévations transitoires et
asymptomatiques des
aminotransférases (ASAT, ALAT),
particulièrement en début de
traitement (voir rubrique 4.4)
Hépatite (comprenant des
atteintes hépatiques cytolytiques,
cholestatiques ou mixtes)
Affections de la peau et du tissu sous-cutané
Rash
Réaction de
photosensibilité
Alopécie
Affections musculo-squelettiques et systémiques
Rhabdomyolyse
Affections du rein et des voies urinaires
Incontinence urinaire
Dysurie
Affections gravidiques, puerpérales et périnatales
Syndrome de sevrage médicamenteux
néonatal (voir section 4.6)
Affections des organes de reproduction et du sein
Priapisme
Troubles généraux et anomalies au site d'administration
Asthénie; Fatigue; Oedème
Investigations
Augmentation de
la prolactinémie
8
Elévation de la
créatine phosphokinase
Augmentation de la
bilirubine totale
Augmentation des phosphatases
alcalines
ZYPREXA_Wave_3_2_A4_FR_Huisarts.indd 1
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