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DENOMINATION DU MEDICAMENT Simponi
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50 mg, solution injectable en stylo prérempli. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE Un stylo prérempli de 0,5 ml contient 50 mg de golimumab°. °Anticorps monoclonal
humain de type IgG1k produit sur une lignée cellulaire d'hybridome de souris par la technique de l'ADN recombinant. Excipients sorbitol (E420), L-histidine, chlorhydrate d'histidine monohydraté, polysorbate 80, eau pour prépa-
rations injectables. Chaque stylo prérempli contient 20,5 mg de sorbitol par dose de 50 mg. FORME PHARMACEUTIQUE Solution injectable en stylo prérempli (injection), SmartJect. La solution est limpide à légèrement opales-
cente, incolore à légèrement jaune. DONNEES CLINIQUES Indications thérapeutiques Polyarthrite rhumatoïde (PR) Simponi, en association avec le méthotrexate (MTX), est indiqué dans : le traitement de la polyarthrite rhuma-
toïde active, modérée à sévère chez les adultes, lorsque la réponse aux traitements de fond antirhumatismaux (DMARD), y compris le MTX, a été inadéquate. Le traitement de la polyarthrite rhumatoïde active, sévère et évolutive
chez les adultes non traités auparavant par le MTX. Il a été démontré que Simponi, en association avec le MTX, ralentit la vitesse de progression de la destruction articulaire, mesurée par radiographie et améliore la fonction
physique. Rhumatisme psoriasique (RP) Simponi
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, seul ou en association avec le MTX, est indiqué dans le traitement du rhumatisme psoriasique actif et évolutif chez les adultes, lorsque la réponse à un précédent traitement de
fond antirhumatismal (DMARD) a été inadéquate. Il a été démontré que Simponi ralentit la vitesse de progression de la destruction articulaire périphérique, mesurée par radiographie chez les patients présentant des formes
polyarticulaires symétriques de la maladie (voir rubrique 5.1) et améliore la fonction physique. Spondylarthrite ankylosante (SA) Simponi
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est indiqué dans le traitement de la spondylarthrite ankylosante active sévère chez les
adultes qui n'ont pas répondu de manière adéquate à un traitement conventionnel. Posologie et mode d'administration Le traitement par Simponi
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doit être initié et supervisé par des médecins qualifiés expérimentés dans le
diagnostic et le traitement de la polyarthrite rhumatoïde, du rhumatisme psoriasique ou de la spondylarthrite ankylosante. Les patients traités par Simponi
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devront recevoir la carte de signalement patient. Polyarthrite rhuma-
toïde Simponi
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50 mg administré une fois par mois, à la même date chaque mois. Simponi
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doit être administré de manière concomitante avec le MTX. Rhumatisme psoriasique Simponi
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50 mg administré une fois par mois, à la
même date chaque mois. Spondylarthrite ankylosante Simponi
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50 mg administré une fois par mois, à la même date chaque mois. Les données disponibles suggèrent que la réponse clinique est habituellement obtenue dans les
12 à 14 semaines de traitement (après 3 à 4 doses). La poursuite du traitement doit être reconsidérée chez les patients pour lesquels aucun bénéfice thérapeutique n'a été démontré dans ce délai. Chez les patients pesant plus
de 100 kg qui n'obtiennent pas de réponse clinique satisfaisante après 3 ou 4 doses, une augmentation de la dose de golimumab à 100 mg une fois par mois peut être envisagée, en tenant compte du risque accru de certains
effets indésirables graves survenant avec une dose de 100 mg par rapport à 50 mg (voir rubrique 4.8). La poursuite du traitement doit être reconsidérée chez les patients pour lesquels aucun bénéfice thérapeutique n'a été dé-
montré après 3 à 4 doses supplémentaires de 100 mg. En cas d'oubli d'une prise de Simponi Si un patient oublie une injection de Simponi le jour prévu, elle doit être effectuée dès que le patient s'en souvient. Les patients doivent
recevoir comme instruction de ne pas injecter une double dose pour compenser la dose oubliée. La dose suivante devra être administrée d'après le principe suivant : Si la dose est administrée avec moins de 2 semaines de retard,
le patient devra s'injecter la dose oubliée et poursuivre le traitement selon le calendrier mensuel initial. Si la dose est administrée avec plus de 2 semaines de retard, le patient devra s'injecter la dose oubliée et un nouveau
calendrier mensuel devra être établi à partir de la date de cette injection. Sujets âgés ( 65 ans) Aucun ajustement de dose n'est nécessaire chez les personnes âgées. Insuffisance rénale et hépatique Simponi
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n'a pas été
étudié chez cette population de patients. Aucune recommandation de doses ne peut être faite. Population pédiatrique La tolérance et l'efficacité de Simponi
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n'ont pas été établies chez les patients âgés de moins de 18 ans.
Aucune donnée n'est disponible. Méthode d'administration Voie sous-cutanée. Après avoir été formés de manière appropriée à la technique d'injection sous-cutanée, les patients peuvent s'injecter eux-mêmes Simponi si leur
médecin considère que cela est approprié, avec un suivi médical si nécessaire. Les patients doivent recevoir comme instruction d'injecter la quantité totale de Simponi selon les instructions complètes d'administration fournies
dans la notice. Pour les instructions d'administration, voir rubrique 6.6. Contre-indications Hypersensibilité à la substance active ou à l'un des excipients (voir rubrique 6.1*). Tuberculose (TB) active ou autres infections sévères,
telles que sepsis, et infections opportunistes (voir rubrique 4.4*). Insuffisance cardiaque modérée ou sévère (de classe III/IV dans la classification NYHA) (voir rubrique 4.4*). Effets indésirables Lors des études contrôlées de
phase III dans le traitement de la PR, du RP et de la SA, l'effet indésirable (EI) le plus fréquemment rapporté au cours des 16 semaines était l'infection des voies respiratoires hautes, observée chez 7,2 % des patients traités par
gol imumab contre 5,8 % des patients témoins. Les EIs les plus graves, rapportés sous Simponi étaient des infections graves (y compris sepsis, pneumonie, TB, infections fongiques invasives et infections opportunistes), troubles
démyéli nisants, lymphome, réactivation du VHB, ICC, processus auto-immuns (syndrome lupique « type lupus ») et réactions hématologiques (voir rubrique 4.4). Les EI observés lors d'essais cliniques et rapportés depuis la com-
mercialisation dans le monde sont listés dans le tableau 1. Au sein des systèmes classe-organe, les effets indésirables sont listés par fréquence en utilisant la convention suivante : Très fréquent ( 1/10) ; fréquent ( 1/100 à <
1/10); peu fréquent ( 1/1 000 à < 1/100) ; Rare ( 1/10 000 à < 1/1 000) ; Très rare (< 1/10 000); fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).Tableau 1 : Liste sous forme de tableau des EI:
Infections et infestations : Très fréquent : Infection des voies respiratoires hautes (nasopharyngite, pharyngite, laryngite et rhinite) ; Fréquent : Infections bactériennes (telle que cellulite), infections virales (telles que grippe et
herpès), bronchite, sinusite, infections fongiques superficielles ; Peu fréquent : Choc septique, sepsis, tuberculose, infection des voies respiratoires basses (telle que pneumonie), infections opportunistes (telles qu'infections
fongiques invasives [histoplasmose, coccidioidomycoses, pneumocystose], infection bactérienne, mycobactérienne atypique et protozoaire), pyélonéphrite, abcès, arthrite bactérienne, bursite infectieuse ; Rare : Réactivation
de l'hépatite B, Tumeurs bénignes, malignes et non précisées : Peu fréquent : Tumeurs (telles que cancer de la peau, carcinome à cellules squameuses et naevus malin) ; Rare : Lymphome; Inconnu: Leucémie**, Affections hé-
matologiques et du système lymphatique : Fréquent : Anémie ; Fréquent : Leucopénie, thrombocytopénie ; Rare : Pancytopénie ; Inconnu : Anémie aplasique**, Affections du système immunitaire : Fréquent : Réactions allergiques
(broncho spasme, hypersensibilité, urticaire), auto-anticorps positif, Rare : Réactions graves d'hypersensibilité systémique (y compris réaction anaphylactique), vascularite (systémique) Affections endocriniennes : Peu fréquent
: Trouble thyroïdien (tels que hypothyroïdie, hyperthyroïdie et goître), Affections du métabolisme et de la nutrition : Peu fréquent : Augmentation du taux de glucose dans le sang, augmentation des lipides, Affections psychiatriques
: Fréquent : Dépression, insomnie, Affections du système nerveux : Fréquent : Vertiges, paresthésies, céphalées ; Peu fréquent : Troubles démyélinisants, troubles de l'équilibre, dysgueusie, Affections oculaires : Peu fréquent :
Troubles visuels (tels que vision floue et diminution de l'acuité visuelle), conjonctivite, allergie oculaire (tels que prurit et irritation), Affections cardiaques : Peu fréquent : Insuffisance cardiaque congestive (apparition de novo
ou aggravation), arythmie, troubles ischémiques des artères coronaires, Affections vasculaires : Fréquent : Hypertension ; Peu fréquent : Thrombose (telles que thrombose veineuse profonde et aortique), syndrome de Raynaud,
rougeur, Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales : Peu fréquent : Asthme et symptômes associés (tels que sifflements et hyperactivité bronchique) ; Rare : Maladie pulmonaire interstitielle, Affections gastrointes-
tinales : Fréquent : Constipation, dyspepsie, douleur gastro-intestinale et abdominale ; Peu fréquent : Troubles inflammatoires gastro-intestinaux (tels que gastrite et colite), reflux gastro-oesophagien, stomatite, Affections hépa-
tobiliaires : Fréquent : Augmentation de l'alanine aminotransférase, augmentation de l'aspartate aminotransférase ; Peu fréquent : Cholélithiase, troubles hépatiques, Affections de la peau et du tissu sous-cutané : Fréquent :
Alopécie, dermatite, prurit, rash ; Peu fréquent : Psoriasis pustuleux (apparition ou aggravation de psoriasis pré-existant, palmaire/plantaire et pustuleux), urticaire, Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif : Rare :
Syndrome lupique, Affections rénales et urinaires : Peu fréquent : Troubles de la vessie ; Rare : Troubles rénaux, Affections des organes de reproduction et des seins : Peu fréquent : Troubles mammaires, troubles du cycle
menstruel, Troubles généraux et anomalies au site d'administration : Fréquent : Pyrexie, asthénie, réaction au site d'injection (telle qu'érythème au site d'injection, urticaire, induration, douleur, hématome, prurit, irritation et
paresthésies), altération des facultés de guérison, gêne thoracique, Blessure, empoisonnement et opérations compliquées : Peu fréquent : Fractures osseuses. ** Observés avec d'autres anti-TNF, mais pas observés dans des
études cliniques avec golimumab. Infections L'infection des voies respiratoires hautes a été l'effet indésirable le plus fréquemment observé lors des études combinées de phase III pour le traitement de la PR, du RP et de a SA
jusqu'à la semaine 16, survenant chez 7,2 % des patients traités par golimumab (incidence par patient/année : 0,26 ; IC de 95 % : 0,22, 0,31) comparé à 5,8 % chez les patients du groupe contrôle (incidence par patient/année : 0,23 ;
IC de 95 % : 0,17, 0,31). L'incidence par patient/année (intervalle de confiance de 95 % ; IC) des infections des voies respiratoires hautes au cours d'une année de suivi était de 0,23 évènement (0,21, 0,25) chez les patients traités
par golimumab et de 0,25 évènement (0,20, 0,31) chez les patients du groupe contrôle. Lors des études contrôlées de phase III dans le traitement de la PR, du RP et de la SA jusqu'à 16 semaines, des infections ont été observées
chez 28,3 % des patients traités par golimumab (incidence par patient/année : 1,28 ; IC de 95 % : 1,18, 1,38) comparé à 24,7 % chez les patients du groupe contrôle (incidence par patient/année : 1,17 ; IC de 95 % : 1,02, 1,33).
L'incidence par patient/année (IC de 95 %) des infections au cours d'une année de suivi était de 1,32 évènement (1,27, 1,38) chez les patients traités par golimumab et de 1,31 évènement (1,18, 1,44) chez les patients du groupe
contrôle. Des infections sévères ont été observées lors des études contrôlées de phase III pour le traitement de la PR, du RP et de la SA jusqu'à 16 semaines chez 1,4 % des patients traités par golimumab (incidence par patient/
année : 0,06 ; IC de 95 % : 0,04, 0,08) et 1,3 % chez les patients du groupe contrôle (incidence par patient/année : 0,04 ; IC de 95 % : 0,02, 0,08). Les infections sévères observées chez les patients traités par golimumab comprenaient
tuberculose, infections bactériennes y compris sepsis et pneumonie, infections fongiques invasives et autres infections opportunistes. Certaines de ces infections ont été mortelles. L'incidence par patient/année (IC de 95 %) des
infections sévères au cours d'une année de suivi était de 0,05 évènement (0,04, 0,06) chez les patients traités par golimumab et de 0,06 évènement (0,04, 0,09) chez les patients du groupe contrôle (voir rubrique 4.4*). Dans les
parties contrôlées et non contrôlées des études cliniques de phase II dans le traitement de la PR et de phase III dans le traitement de la PR, du RP et de la SA avec un suivi moyen de 1,6 ans, une plus grande incidence de TB a
été observée dans le groupe traité par golimumab 100 mg comparé au groupe traité par golimumab 50 mg. Tumeurs malignes Lymphome Au cours des phases contrôlées des essais cliniques de phase IIb et de phase III,
l'incidence des lymphomes chez les patients traités par Simponi
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atteints de PR, de RP et de SA au cours d'une année de suivi a été supérieure à celle attendue dans la population générale. Un lymphome a été diagnostiqué chez
2 sujets (tous deux dans le groupe traité par golimumab 100 mg) avec une incidence (IC de 95 %) pour 100 sujets-année de suivi de 0,10 (0,01, 0,37) évènement pour golimumab et 0,00 (0,00, 0,90) évènement pour le groupe pla-
cebo. Dans les parties contrôlées et non contrôlées des études cliniques avec un suivi moyen de 2,5 ans, une plus grande incidence de lymphome a été observée dans le groupe traité par golimumab 100 mg comparé au groupe
traité par golimumab 50 mg. La majorité des lymphomes est survenue au cours de l'étude GO-AFTER, qui incluait des patients exposés auparavant à des anti-TNF, atteints d'une maladie de durée plus longue et réfractaire à plus
de traitements. Voir rubrique 4.4. Tumeurs malignes autres que le lymphome Dans les phases contrôle des essais cliniques sur Simponi
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de phase IIb et de phase III dans le traitement de la PR, du RP et de la SA, au cours d'une
année de suivi, l'incidence des tumeurs malignes autres que le lymphome (excepté les cancers de la peau autres que le mélanome) était comparable dans les groupes Simponi
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et dans le groupe contrôle. Au cours d'une année
de suivi lors des études de phase IIb et de phase III sur les indications rhumatologiques, un cancer de la peau autre que le mélanome a été diagnostiqué chez 19 sujets (5 dans le groupe placebo, 6 dans le groupe golimumab 50
mg et 8 dans le groupe golimumab 100 mg) avec une incidence (IC de 95 %) par 100 sujetsannée de suivi de 0,72 (0,39, 1,20) évènement pour le golimumab et 1,51 (0,49, 3,52) évènement pour le groupe placebo. Au cours d'une
année de suivi lors des études de phase IIb et de phase III sur les indications rhumatologiques, des tumeurs malignes en plus d'un cancer de la peau autre que le mélanome et d'un lymphome ont été diagnostiquées chez 12
sujets (2 dans le groupe placebo, 6 dans le groupe golimumab 50 mg et 4 dans le groupe golimumab 100 mg) avec une incidence (IC de 95 %) pour 100 sujets-année de suivi de 0,51 (0,24, 0,94) évènement pour golimumab et 0,60
(0,07, 2,17) évènement pour le groupe placebo. Voir rubrique 4.4*. Cas rapportés lors d'études cliniques dans l'asthme Lors d'une étude clinique exploratoire, les patients atteints d'asthme persistant sévère ont reçu une dose de
charge de golimumab (150 % de la dose de traitement attribuée) par voie sous-cutanée à la semaine 0 suivie d'une dose de golimumab 200 mg, de golimumab 100 mg ou de golimumab 50 mg toutes les 4 semaines par voie sous-
cutanée jusqu'à la semaine 52. Huit tumeurs malignes dans le groupe de traitement golimumab combiné (n=230) et aucun dans le groupe placebo (n=79). Un lymphome a été rapporté chez 1 patient, un cancer de la peau autre
que le mélanome chez 2 patients et d'autres tumeurs malignes chez 5 patients. Aucun groupement spécifique selon un type quelconque de tumeur maligne n'a été défini. Au cours de la phase contrôle versus placebo de l'essai
clinique, l'incidence (IC de 95 %) de toutes les tumeurs malignes par 100 sujets-année de suivi était de 3,19 (1,38, 6,28) dans le groupe golimumab. Dans cette étude, l'incidence (IC de 95 %) par 100 sujets-année de suivi chez les
sujets traités par golimumab était de 0,40 (0,01, 2,20) pour le lymphome, 0,79 (0,10, 2,86) pour les cancers de la peau autre que le mélanome et 1,99 (0,64, 4,63) pour les autres tumeurs malignes. Pour les sujets sous placebo,
l'incidence (IC de 95 %) par 100 sujets-année de suivi de ces tumeurs malignes était de 0,00 (0,00, 2,94). La signification de ce résultat est inconnue. Augmentation du taux des enzymes hépatiques Lors d'essais contrôlés de phase
III jusqu'à la semaine 16, une légère augmentation du taux d'ALAT (> 1 et < 3 x la limite normale supérieure (LNS)) a été observée en proportions comparables chez les patients traités par golimumab et les patients du groupe
contrôle lors des études sur la PR et le RP (22,1 % à 27,4 % des patients) ; dans l'étude sur la SA, une légère augmentation du taux d'ALAT a été observée chez un nombre plus important de patients traités par golimumab (25,6 %)
que chez les patients du groupe contrôle (3,9 %). Au cours d'une année de suivi, l'incidence de la légère augmentation du taux d'ALAT était comparable chez les patients traités par golimumab et chez les patients du groupe
contrôle lors des études sur la PR et le RP. Dans la population atteinte de SA, l'incidence de la légère augmentation du taux d'ALAT était supérieure chez les patients traités par golimumab que chez les patients du groupe contrôle.
Lors des études sur la PR et la SA jusqu'à la semaine 16, l'augmentation du taux d'ALAT à 5 x LNS était peu fréquente et observée chez un nombre plus important de patients traités par golimumab (0,4% à 0,9%) que de patients
du groupe contrôle (0,0 %). Cette tendance n'a pas été observée dans la population atteinte de RP. Au cours d'une année de suivi, l'incidence d'une légère augmentation du taux d'ALAT de 5 x LNS était comparable chez les
patients traités par golimumab et chez les patients du groupe contrôle lors des études de phase III sur la PR, le RP et la SA. En général, ces augmentations ont été asymptomatiques et les anomalies ont diminué ou se sont ré-
solues soit en maintenant, soit en interrompant le traitement par golimumab, soit en modifiant la prise de médicaments concomitants. Au cours des études de phase II et de phase III sur la PR, le RP et la SA, un patient présen tant
des anomalies hépatiques pré-existantes et recevant des traitements pouvant y être associés, a reçu golimumab et a développé une hépatite fatale non infectieuse accompagnée d'une jaunisse. Le rôle de golimumab comme
facteur associé ou aggravant ne peut pas être exclu. Réactions au site d'injection Des réactions au site d'injection ont été observées lors des études contrôlées de phase III de 16 semaines sur la PR, le RP et la SA chez 5,8 %
des patients traités par golimumab par rapport à 2,2 % chez les patients du groupe contrôle. La présence d'anticorps anti-golimumab peut augmenter le risque de réactions au site d'injection. La majorité des réactions au site
d'injection étaient légères ou modérées, et la manifestation la plus fréquente a été un érythème au site d'injection. Les réactions au site d'injection n'ont généralement pas nécessité l'arrêt du traitement. Lors des essais contrôlés
de phase IIb et III sur la PR, le RP, la SA et l'asthme persistant sévère, aucun patient traité par golimumab n'a développé de réaction anaphylactique. Autoanticorps Lors d'essais de phase III sur la PR, le RP et la SA au cours
d'une année de suivi, 4,0 % des patients traités par golimumab et 2,6 % des patients du groupe contrôle ont développé des anticorps anti-nucléaires (à des titres de 1/160 ou supérieurs). La fréquence des anticorps anti-ADN
double brin au bout d'un an de suivi chez les patients anti-ADN double brin négatif au début de l'étude était peu fréquente. TITULAIRE DE L'AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE Janssen Biologics B.V., Einsteinweg 101,
2333 CB Leiden, Pays-Bas NUMERO D'AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE EU/1/09/546/001 (1 stylo prérempli) MODE DE DELIVRANCE Médicament soumis à prescription médicale. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE 30 mai
2011. Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site internet de l'Agence européenne du médicament (EMEA) http://www.emea.europa.eu.
* Pour information complète du produit, veuillez vous référer au RCP du 30 mai 2011.
30-Juin-2012 SIM-2011-BE-3431-MO
Schering-Plough NV/SA, an MSD Company
Clos du Lynx 5 Lynx Binnenhof · 1200 Bruxelles/Brussel
Tel.: +32(0)2 776 62 11 · Fax: +32(0)2 776 63 67
MSD Belgium SPRL
Clos du Lynx, 5 - 1200 Bruxelles
31-Jul-2012 SIM-2011-BE-3490-J
PP = 1184,12
1 stylo prérempli 50 mg
mensuel
Un anti-TNF simple d'utilisation pour les patients
Une fois par mois
Un anti-TNF simple d'utilisation pour les patients
**
*
* Keystone EC et al., Ann Rheum Dis 2009, 68: 789-796. Inman RD et al., Arthritis and Rheumatism 2008, 58: N° 11, 3402-3412. Kavanaugh A et al., Arthritis and Rheumatism 2009, 60: N° 4, 976-986.
** Simponi
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, notice scientifique 2011.
*** Pour de plus amples informations sur les différentes indications, veuillez consulter la notice scientifique.
Polyarthrite
rhumatoïde
Spondylarthrite
ankylosante
Rhumatisme
psoriasique***
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Clos du Lynx 5 Lynx Binnenhof · 1200 Bruxelles/Brussel
Tel.: +32(0)2 776 62 11 · Fax: +32(0)2 776 63 67
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Clos du Lynx, 5 - 1200 Bruxelles