avaient un score EDSS stable ou amé- lioré. Seuls 18% des patients qui étaient toujours traités avaient un score EDSS de 6 ou plus ( cette longue période, aucun problème de sécurité n'a été observé. Plus particu- lièrement, il n'y a pas eu de preuve de dysfonctions hématologiques, hépatiques ou rénales, ni d'immunosuppression, ni d'apparition d'affections malignes, ni de développement d'une autre maladie auto-immune (7). en plaques cliniquement établie Copaxone établie a été étudiée dans les cas où le traitement a déjà été initié précoce- ment lors de l'apparition d'un syndrome isolé au niveau clinique. Par rapport au placebo, le traitement actif a permis de ralentir l'évolution vers une sclérose en plaques cliniquement établie sur une période de 36 mois. Plus précisément, ce risque a été réduit de 45% en com- paraison du placebo (8). Après les 36 mois de suivi, les patients ont encore pu prendre la Copaxone la sclérose en plaques cliniquement établie était toujours significative- ment plus fréquente dans le groupe dans le groupe traité par Copaxone faveur d'un démarrage rapide du traite- ment (9). mécanisme d'action relatives au mécanisme d'action de la Copaxone connaissances par rapport à la réponse immunitaire. Ce sont surtout la dévia- tion immune, les cellules T régulatrices et les cellules présentant l'antigène qui se sont avérées influencées par le traitement. Dans un premier temps, sur la base de recherches in vitro, il a clairement été mis en évidence que la Copaxone lymphocytes Th1 aux lymphocytes Th2, mécanisme au cours duquel la produc- tion d'interleukine 4 augmente et celle d'interféron gamma diminue (10). Plus tard, il a également été constaté sur des animaux de laboratoire que la Copaxone type 2, ce qui s'accompagne d'une dimi- nution de l'interleukine 12 et du tumor necrosis factor. Ces monocytes de type 2 stimulent la différenciation en lym- phocytes Th2 et la différenciation des cellules T régulatrices, indépendamment d'un antigène spécifique (11). presseur. De nombreuses études cliniques randomisées ont démontré l'efficacité du médicament dans la relapsing mul- tiple sclerose. En outre, des techniques avancées d'imagerie médicale ont aussi clairement mis en évidence que la Copa- xone études directement comparatives prou- vent une efficacité similaire par rapport au traitement à base d'interféron bêta haute- ment dosé. L'étude prospective la plus longue dans la sclérose en plaques entre aujourd'hui dans sa vingtième année. Sur cette période, un avantage clinique per- sistant a été constaté, sans problèmes de sécurité compromettants. Tout ce temps a permis d'acquérir une expérience avec près d'un million d'années-patients. 1. rol 2009;8(10):889-97. 2008;7(10):903-14. 2001;49(3):290-7. 2001;57(4):731-3. 2002;59(8):1284-6. 13 [Epub ahead of print] 2010;16(3):342-50. 2009;374(9700):1503-11. PD6.006. |